Quand je suis arrivé en Suisse en 1975 on m’a présenté cette musique de Jacques Higelin. Jamais j’avais écouté quelque chose pareil. Cela m’a complètement époustouflé.
Voici les paroles de cette chanson:
Tiens, j’ai dit tiens
Tiens j’ai dit tiens
J’ai dis tiens, tiens j’ai dit tiens
La grande rue du village
la pluie glisse sur tes joues
(je voudrais savoir pourquoi
Je suis amoureux de cette fille là)
Un tracteur est passé
Il a crié Olé
J’ai pas bien compris
C’est la vie
Mon enfant dort
Chut, il est mort
Non, il vit
C’est le roi qui pisse au lit
Pompier, pompier
J’ai des pompiers dans mon zizi
Pompier, pompier
J’ai des pompiers dans mon zizi
Pompier, pompier
J’ai des pompiers dans mon zizi
Quand tu poses ta tête
Ta tête lourde tête
Su mon genou
Je deviens fou
Si j’deviens fou
Faut m’enfermer
Ca coûte des sous à la société
Madame, dis moi bonjour
Pour moi tu es l’amour
Tu rentres dans ma vie
Comme ça tous les lundis
Les ch’vaux, les veaux les lions
Sont pas malins
Mais toi, pour quand tu es là
Tu l’es
Maline
Tu m’fais du lapin
Quand j’ai faim
Au beurre
Quand j’pleure
Faut pas manger, quand on a faim
Faut pas penser, quand on est rien
Faut pas trop lire, ça fait tousser
Faut pas médire, ça fait méditer
J’suis con, j’aime ça
C’est bon, d’être con
J’vois rien, j’dis rien
J’fais rien, j’fais l’con
J’dis oui, j’dis non
J’dis quoi, j’sais pas
Je ne discute pas
Je ne compte pas
Je dis bonjour
Quand on me dit bonjour
J’suis fou, j’suis doux
Joujou, hibou, genou
Je nous aime pas
J’m’en fous
Pas toi
Je nous aime pas
J’m’en fous
Pas toi
Amoureux de cette fille là